Une autre expérience également très simple : un bocal rempli à moitié d’eau très chaude. On glisse et on laisse tomber une allumette enflammée à l’intérieur du bocal. (Il faut savoir que les poussières et les sels minéraux jouent un rôle important dans la formation des nuages et la survenue des précipitations). On referme le couvercle sur lequel on place de la glace. On voit très rapidement un nuage se former à l’intérieur. On ouvre alors le couvercle et on voit nettement le nuage s’élever au-dessus du bocal.
La dernière expérience montre la pression atmosphérique. Elle est encore plus simple : un bocal avec un peu d’eau à l’intérieur, un couvercle en plastique de crème glacée, on retourne le bocal, ni l’eau ni le couvercle ne tombent : la pression atmosphérique est plus forte que la pesanteur ! Les bénévoles passent vraiment pour des magiciens !
La fresque est finie, ils évoquent les problèmes de pollution, notamment les microplastiques, montrent un film sur les stations d’épuration et appellent les élèves à se regrouper en 4 équipes pour réaliser une fresque qui devra d’abord être belle, agréable à regarder et à afficher, avec un titre, des slogans, des conseils.
Les fresques sont ensuite affichées et 2 rapporteurs viennent présenter leur fresque à la classe, les autres membres du groupe complètent si besoin et répondent aux questions des autres élèves, notamment pourquoi ils ont mis tel ou tel dessin.
La séance se termine par quelques cartes du jeu du consomètre affichées au tableau et que l’on doit ranger dans l’ordre croissant de son empreinte eau. Par exemple : 17 000 litres d’eau pour produire un kg de chocolat. Il va vraiment falloir économiser l’eau ailleurs parce qu’il n’est guère raisonnable de se priver totalement de chocolat.
Les bénévoles félicitent et remercient les élèves qui manifestent leur satisfaction par de chaleureux applaudissements.
